Au plus profond de soi ( pv Caleb)

Elle se maquilla légèrement, puis enfila un deux pièces noir, ce qui allait tout à fait le teint de sa peau. Elle enroula un paréo de couleur, puis prit son sac à dos pour un tour à la piscine. C’était la première fois que Camilla se rendait là bas depuis qu’elle avait mit les pieds dans ce camp de musique, dommage que la jeune jeune fille ne savait pas s’amusé comme les autres. Arrivé au rebord de cette piscine placide et bleu clair, elle sortit une couverture pour étaler ses effets. Des crèmes pour évité les rougeurs, ainsi qu’un bouquin pour s’évader un peu de la réalité. Elle lâcha sa chevelure, la faisant virevolté de droite à gauche, pour la gonflé un peu en crinière, puis remonta son haut qui semblait descendre à chaque mouvement brusque. Elle passa sa main dans sa nuque, puis se mordit la lèvre inférieure au contact de l’eau. Elle était plutôt fraiche, mais sous une chaleur comme celle-ci ça ne pouvait faire que du bien. Elle entra une jambe, puis une autre sous le regard baveux de quelques garçons. Camilla avait un corps élancé, plutôt avantageux, mais ça elle ne se rendait pas vraiment compte. Elle fit quelques battements, puis resta sur le dos, en planche pour observer le ciel du Canada. Sur le fait, la jeune fille ne pensait à plus grand-chose, l’eau insonorisait tout, les voix n’étaient plus que des brouhahas. Elle ferma les yeux, puis retomba tout doucement au moment de reprendre la respiration, un peu surprise par l’eau presque à la noyade. Elle toussota un peu, puis reprit sa respiration. C’était comme dans ses moments de détresses, quand elle se laissait couler dans la baignoire en guise d’échappatoire. Elle sortit de l’eau, vacillant, puis s’allongea sur sa couverture, un peu plus sereine. Elle glissa ses oreillettes, puis alluma son baladeur, c’était un tube du groupe Skin, Camilla adorait la voix de la chanteuse. Ce timbre un peu meurtrit, c’était ce qu’elle essayait de reproduire avec son piano. Elle chantonna un peu, puis se tourna sur le dos, pour contemplé à nouveau se soleil de plomb.

**JONES DEPARTEMENT** *How do I describe an Angel?*

Il n'existe que deux sortes de musique : la bonne et la mauvaise. La musique repose sur l'harmonie
entre le Ciel et la Terre, sur la coïncidence du trouble et du clair.Comment le vent sait-il dans quelle
direction il doit souffler ? Les lettres anonymes ont le grand avantage qu'on n'est pas forcé d'y répondre.
Dans le méli-mélo, j'ai toujours préféré le meli.Pour voir qu'il fait noir, on n'a pas besoin d'être une lumière.
C'est pour cela que assis, sur mon transate j'obsèrve une fille qui de loin à l'air très mignonne. La fine raillerie
est une épine qui a conservé un peu de parfum de la fleur

J’observais le soleil, pensive sur ma journée. Depuis mon arrivé a Camp Rock, je ne mettais toujours pas fait un entourage. Non , je déambulais dans une triste incertitude. Certes j’avais des projets avec Avery, la petite blonde Rock Country que j’avais rencontré au feu de camp, mais rien de plus. Sentant comme un regard me parcourir, je déviai ma tête sur le coté. Cet alors que je croisai le brun pénétrant de son regard, ce garçon avait tout l’air d’un beau chasseur, un coureur de jupon dont je devais impérativement prendre mes distances. Je restai un moment à le regarder, un peu gêner qu’il me toise ainsi comme une petite poupée de luxe. Je n’ai jamais eut une grande aise avec le sexe opposé et encore moins avec ceux dont le regard sibyllin, ne m’inspire que guère. Je me relevai doucement, puis ôta mes écouteurs, quittant la voix meurtrit de Skin, pour la joie des trempettes entre amis. Il ne faisait que me regarder et pourtant ça m’agaçait en tout point. Je soupirai, un peu las d’avoir affaire à des enquiquineurs, puis me releva pour de bon pour aller à sa rencontre. Il est clair que ma timidité allait me faire default, me réduisant au silence, mais vraiment ce garçon m’importunait. Arrivé à sa hauteur, je posai mes mains sur mes hanches l’air dominateur. Il était très mignon et son regard énigmatique enjôleur, me troublait, mais voilà je n’étais pas de celle qui se pliait devant le premier canon du coin. S’il voulait m’aborder qu’il le fasse en conversant, mais pas en me fixant comme une proie. Je lui adressai un « salut, puis entama la conversation, mettant les point sur les I, enfin j’ai essayé sans n’être trop impolie.

-Salut, je n’aimerais pas être impolie, mais je n’aime pas du tout qu’on me fixe de la sorte. Tu sais il y a plein de filles dans la piscine qui aimerais être observé par un type de ton genre. Alors oublies moi veux-tu ? Je n’ai jamais été intéressante et je ne cherche pas à le devenir. Sinon, j’ai adoré ton morceau au feu de camp, juste ta musique….

Je tournai aussitôt les talons, pour regagner l’eau fraiche de la piscine. Du moins m’assoir au rebord pour tremper mes pieds et descendre toute cette chaleur qui m’avait gagné. Je n’avais pas été très correcte avec lui, mais lui non plus. Il n’avait pas à me toiser de la sorte, je n’étais pas sa copine et loin de l’être. Même si sentir son regard posé sur moi me flattais, même si j’avais le cœur lourd de pierre, je n’étais pas insensible à l’intérêt qu’un garçon pouvait me porter, au contraire je puisais mon manque d’amour dans leurs bras. Je jouais quelques minutes avec l’eau, faisant des ondes avec le bout de mes orteils, puis à nouveau je plongeai mon regard dans le sien, en espérant ne pas lui avoir fait trop de peine. Prit d’un étrange sentiment culpabilité, je me relevai soudainement pour regagné le transate ou il était confortablement installé. A nouveau je me présentai à lui, masquant légèrement mes yeux de ma main pour le regarder avec fermeté, puis déclara d’une voie presque inaudible et coupable.

-Je suis désolée pour tout à l’heure, j’ai passé une journée catastrophique, alors je me suis légèrement laisser porté. Mais ton regard sur moi me gène…. Je n’aimerais pas qu’on me prenne pour une fille facile. Moi je suis ici pour la musique, par pour flirté avec le premier imbécile venue.

**JONES DEPARTEMENT** *How do I describe an Angel?*

Cette fille m'avait fait bien rire, sans doute parceque mon regard bleu l'intimidai, mais je n'était guère une personne qui cherchai à faire des trucs d'un soir et tchao. D'ailleur, j'aimait pas sa, ce genre de mec qui chercher tous sauf une relation stable. Remarqué, je n'était pas la bonne personne pour parlé d'amour, oh que non j'avais gaché toute une relation construite avec Cléa. Puis cette fille qui m'insuportait d'avance revint me parlé. Ma chanson au feu de camp ? Cela n'était rien, elle verra quand je me lacherai au grand concours final. C'est vrai quand on regard un mec qui nous regarde comme je le fait, ca peut être embettant. Mais de là me traité d'imbécile merci !

- Je te remercie pour "l'imbécile" ceci ma fait très plaisir, et quand au feu de camp, merci aussi mais ce n'était rien, et je te regardait car je sais pas qui tu es et que cela m'intérésse de savoir, je ne suis pas doué en conversation sérieuse, je joue toujours le rôle du garçon rigolo. Mais je suis pas un intello avrès dire.

Le garçon prit un ton ironique et je lui rendis l’instant d’un sourire. Il était un vrai imbécile, mais un garçon qui savait charmer en ce la jouant très self control. Il me remercia du compliment au sujet de sa prestation et je haussai les épaule neutre, fallait pas non plus qu’il monte sur ses grands chevaux, dans la compétition on était ennemis. Mais il avait un réelle talent, je ne faisais que l’admettre après tout je n’étais pas une fille rongé jusqu’à l’os, tout au fond de mon cœur se cachait un brin de sociabilité. Il me parla de mystère et mon sourire se fit plus sibyllin, vraiment il ne savait pas qui j’étais ? Je suis l’inconnu de la piscine ou bien l’impolie du moi, peut importe comment il allait me surnommé après cette converse, j’étais ravis qu’il s’intéresse à la petite névrosé du camp. Mon cœur se serra quand il m’annonça qu’il n’était pas fin pour abordé les gens, pourtant vue comment il me fixait quelques minutes auparavant, ce garçon avait tout d’un parfait populaire. En moins que je me fourvoyais encore une fois, tout est tellement si trompeur… Je me pinçai les lèvres, songeuse sur la suite de l’évènement puis répliqua sur les faits.

-J’étais certaine que tu n’étais pas un intello, mais je me suis trompé sur ta personne. Je m’excuse sincèrement de t’avoir insulté de coureur de jupons, mais ta un regard plutôt troublant. Sur le fait je me suis sentit menacé….Je suis très timide et les regards trop intense, ça me fou les nerfs en pelottes. Sinon c’est normal que tu ne m’ais jamais vu, je suis arrivé, il y a quelques jours. Je m’appelle Camilla Allen, une pianiste en herbe et toi ?

Je tendis la main vers lui, premier contact avec ce garçon pour me faire pardonner de mon jugement trop attife. Mon regard était fuyant, mais sur le moment je tentai l’impossible en le plongeant dans le sien qui était d’une teinte magnifique. Cet alors que je sentis mais joues s’embrassé, en feux, surement rougit comme une tomate. Je ne pouvais pas le nié, il était très beau, et son regard un lagon ou je plongerai sans aucune once de réticence. Pourtant je ne croyais pas un mot de son discours, ou alors il charmait la gente féminine sans le vouloir. Peu importe, il m’importunait moins, bien au contraire j’avais envie de faire plus ample connaissance, l’appelé par son prénom et plus encore. Je n’étais pas amoureuse, juste attiré par le mystère qu’il dégageait, c’était un sentiment proche du désir et de l’érotisme.

**JONES DEPARTEMENT** *How do I describe an Angel?*

Son teint de peau l'impressionait, mais d'ou venait t'elle pour avoir ce teint si claire, pour l'univert de Camp rock. Son nom l'intrigua aussi, Allen, comme la chanteuse Lily Allen, il laissa échapé un rire. Il n'était guère mieux, Jones comme nom n'était pas terrible, ou alors celui qui l'aimait était un veritable fou. L'avenir... Cela avait toujours été une notion excessivement floue pour Caleb. Il préférait vivre dans le présent et laisser sa mère choisir ce qu'elle jugeait le mieux, comme perspective "d'avenir". Pour l'instant, le présent de Caleb était tout sauf reluisant de bonheur et de vérité. Après tout, appelez-la comme vous voulez, cela ne change rien au problème.Autant le dire tout de suite, la situation n'était pas sous contrôle. très peu croyaient à l'image de "Joli garçon discret" de Caleb, car elle était complètement fausse. Caleb, lui, en avait plus que marre de jouer ce rôle et tout le monde sait ce qu'il se passe lorsqu'il est énervé. N'importe quelle aide était la bienvenu.

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Caleb Percy Jones, mais appelle moi Caleb. Je suis une véritable guitare née ! Et un conseil, ne m'écoute jamais chanté, je suis la pire casrolle qu'il existe. Et un deuxième conseille, ne te fis pas au apparance. Elles sont souvent trompeuse

Il se présenta sous le nom de Caleb, un prénom plutôt vieux, mais que j’adorais malgré tout. Je restai sur un sourire, alors qu’il me débita tout et n’importe quoi. A l’entendre, il était une véritable casserole, dans ce cas, on était deux, car ma voix n’avait rien de très exceptionnelle. C’était comme un rossignol qu’on aurait écrasé sous un pneu de voiture, à vrai dire je n’avais pas le souffle et le talent. Quand il me parla d’apparences, qui sont parfois trompeuses, je ne pus soutenir plus longtemps son regard. Je me sentais mal à l’idée de l’avoir tant insulté, mais dans la ville où je vivais les hommes étaient de vrais animaux toujours en quêtes d’une femelle. Je me pinçai les lèvres, confuse, mais buvant ses paroles jusqu’à la dernière goutte puis resta un peu perplexe. Moi aussi je cachai un jeu, d’apparence j’avais tout d’une petite fleur fragile, mais je n’avais rien d’une rose sensible. Je broie tellement du noir que mes pensées devenaient de plus en plus obscure. J’étais une jeune fille battu par son père et dont la mère préférait fermer les yeux, en clair je suis comme morte. Je relevai mon regard sur lui, le toisant audacieusement, les hommes de ma vie étaient une cruelle déception, voilà la raison de ma colère, pourquoi je ne supportai pas qu’il pose son regard sur moi. D’ailleurs mon petit maillot bain deux pièces recouvrait très peu de la surface de mon corps, les hématomes étaient apparents. J’étais affreuse, une pauvre gamine écorché. Je lui adressai un sourire timide, tout en relevant ma chevelure d’une queue cheval, que je torsadai pour que l’eau s’écoule. J’avais bien l’attention de poursuivre ma baignade, mais après avoir conversé avec ce garçon.

-Alors tu es un guitariste, non chanteur…Si ça peut te rassuré, mon piano est également ma voix. Je l’ai perdu avec le temps, la blessure peut vous laissez de drôle de cicatrice. Un jour peut-être qu’elle finira par s’éteindre ? Tant que mes mains peuvent jouer, le reste met égale. Oui, les apparences sont trompeuses, d’ailleurs je me demande ce que tu penses de moi ? Je ne suis pas un oiseau rare, ni un tout cour….J’aime être tranquille dans mon coin, vivre par procuration. Tu dois me trouver très hostile monsieur Jones, certes, mais j’aime les visages pas trop lisses. En venant ici, j’avais pour but de gagné, pas me faire des ami. Mais maintenant, je sais plus trop…..Mais je doute que je puisse les intéressés. Je suis antipathique, névrosé et d’une maladresse qui dérange.

]j'esquissai à nouveau un sourire, puis prit place sur le bord, pour trempé seulement les pieds. Je relevai mon regard brun vers lui, avant de lui faire signe de prendre place à coté de moi. Je ne l’aimais pas, mais je ne pouvais pas non plus prétendre le détesté, je voulais simplement faire plus ample connaissance et qui me dit ce qu’il pensait de moi. Dans mon quartier tout le monde me voyait comme une sorte de sorcière, un poison de la société avec son piano. Une fois un homme était entré dans ma chambre pour agressée et moi, je n’ai pas eut guère le choix que me défendre en l’étranglant avec une corde de mon instrument. Je lui avais entaillé la gorge, déclenchant une belle hémorragie. Non, j’étais loin d’être une sainte, d'ailleurs la chaleur me faisait déjà tourné la tete.